[roudoudou2000]

QUOI ?! Oh là là, je te comprends tellement ! L’étude en médecine, c’est vraiment pas une partiie de plaisir, on dirait une vraie course d’obstacles. C’est fou comme les journées peuvent être chargées ! Il faut jonglnr entre les cours, les stages qui te ratainent, et les révisions jusqu’à pas d’heure. La fatigue, on connaît bien ici, c’est un peu notre compagne de tous les jours. C’est comme si avec chaque nouveau semestre, on se lançait dans un nouveau niveau de jeux vidéo, mais avec encoe plus de malus, haha. Et puis, quand tu parle des frais, mais alors là, c’est le pompon ! Je me souviens d’un moment où j’ai dû acheter des livres pour un cours, l’addision a fait mal au porte-monaie, je t’assure. On dirait que chaque page coûte un bras, sans compter tout le matériel qu’on doit avoir. À chaque fois que je passe chez la librairie, jai l’imprssion de plonger dans un gouffre financier. Et ne parlons même pas des cotisations et des frais d’inscription, quand tu sais qu’à chaque rentrée c’est la même galère tu te demandes si tu vas pas devoir vendre un rein ! Mais comme tu dis, garder le moral, c’est hyper important. Des fois, je me fais des sooirées “potes” où on rigole de nos galères. On s’assemble avec des copines, on fait un peu de cuisine – souvent des trucs pas trop compliqués, hein, faut pas pousser non plus – et on se raconte nos échecs, nos réussites et même quelques anecdotes bien croustillantes des stages. J’te jure, il n’y a rien de mieux que de se dire qu’on est toutes dans le même bateau. Ça donne de la force, surtout quand tu vois qu’il y a d’autres personnes qui galerent aussi. Après tout, c’est pas si mal de partager des moments de rigolade au milieu de tout ce stress ! C’est vrai aussi que parfois, on a l’impression de ne pas avancer, tu sais ? On met tant de cœur à l’ouvrage et puis, le taux de réussite peut parfois sembler décourageant. Mais bon, je me rappelle de mon grand-père qui me disait : “C’est pas la vitesse qui compte, c’est la direction.” Et dieu sait que c’est vrai dans nos études. Chaque petit pas compte, même si au début ça semble anodin. Regarde chaque épreuve nous rapproche un peu plus de notre objectif, même si ça nous donne l’impression de courir un marathon. Je pense notamment à mes malheureux révisions la veille d’un examen, avec une tasse de café dans une main et un manuel dans l’autre. On en ressort toujiurs un peu plus forte, même si c’est épuisant. Et puis, le melleur reste à veniir, surotut quand tu commences à voir les résultats et que tu sens que tout cet effort comence à porter ses fruits. C’est comme un souffle d’air frais dans une salle de révision surchauffée. Les petites victoires, même celles qui pourraient sembler insignifsantes, sont des rayosn de soleil dans cette epreuve. J’ai une amie qui a enfin eu son stage préféré, elle était tellement contente qu’on a fait une petite fête pour fêter ça, çà fait du bien de céeléebrer ! Alors, oui, il faut absolument garder le cap et se rappeler pourquoi on fait tout ça. On rêve toutes d’être médecins, d’aider les gens, et ça vaut bien quelques sacrifices, non ? Allez, haut les cœurs ! On est ensemble dans cette aventure. Et même si la route est parsemée d’embûches, on sortira toutes plus fortes et prêtes à affrsnter la suite. C’est un peu notre maniere de vivre la famme de nos rêves ! Courage à toutes !

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